3 février 2020

Un projet d’envergure mêlant danse et théâtre nommé « Danseurs du ciel »

Cette semaine, l’équipe de BAM tenait absolument à vous présenter un nouveau projet complètement unique : « Danseurs du ciel » de la chorégraphe Mohawk Barbara Kaneratonni Diabo. Ce spectacle mettant en scène 8 interprètes-danseurs ainsi qu’un musicien, mêle danse et théâtre traditionnels et contemporains pour livrer avec justesse et émotions l’histoire entourant la tragédie du pont de Québec de 1907.

 

Un projet d’envergure mêlant danse et théâtre nommé « Danseurs du ciel »

 

Cette semaine, l’équipe de BAM tenait absolument à vous présenter un nouveau projet complètement unique : « Danseurs du ciel » de la chorégraphe Mohawk Barbara Kaneratonni Diabo. Ce spectacle mettant en scène 8 interprètes-danseurs ainsi qu’un musicien, mêle danse et théâtre traditionnels et contemporains pour livrer avec justesse et émotions l’histoire entourant la tragédie du pont de Québec de 1907.

 

Au cours des trois dernières années, Barbara Kaneratonni Diabo, chorégraphe et metteure en scène Kanienkehaka (Mohawk), a créé et partagé ce spectacle basé sur la catastrophe du premier effondrement du pont de Québec, dans laquelle 33 ouvriers, travailleurs du fer et des ponts de la communauté mohawk de Kahnawake, ont perdu la vie. Son projet a été présenté à Halifax, dans la région des Mille-Îles, à Montréal et à Vancouver. Les réactions du public autochtone et non autochtone ainsi que de plusieurs diffuseurs ont clairement indiqué que le désastre du pont de 1907, ses répercussions sur le Québec et sa résonance à travers le monde entier, représentait un moment important de l’histoire qui devait être partagé. Bien que tragique, il s’agit d’une histoire profondément touchante, dont les impacts se répercutent sur plusieurs générations et cultures des peuples mohawk, québécois et canadiens.

 

C’est une histoire universelle qui aborde les thèmes de la catastrophe, de la famille, de la communauté et de la résilience dont les impacts se répercutent au fil des générations. Il s’agit également de construire des ponts sur le plan culturel.

 

Le projet sera exposé à Rideau le 19 février lors de la session de Présentations Express.

Voyez un extrait de cette touchante interprétation ci-dessous :

 

 

 

 

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